Profile: Dr. Rita Orji

(Français)

Dr. Rita Orji says her experience as an AGE-WELL trainee while doing postdoctoral work at McGill University helped her to see the sheer scope of what could be accomplished in the field of technology and aging.

These days, Dr. Orji is an assistant professor of computer science at Dalhousie University, where she is in her first year and planting the seeds for future research projects that promote behavioural change in older adults.

Rita Orji_head shotIt’s a direct application of the knowledge gained from her work with AGE-WELL in 2015 on a project focused on digital storytelling as a way for older people to remain connected with others.

“As people age, their social networks shrink and they may become isolated,” she explains. “So, we worked on designing a digital pen and paper communication tool that older adults could write with, then digitally send to their friends, children and grandchildren.”

Dr. Orji, who did her PhD at the University of Saskatchewan, got launched in the technology and aging field because she was interested in designing for underserved populations. Technology tends to be made for the young and dexterous, she says, for people who have grown up with cell phones, tablets and computers.

“I asked, ‘how could we design technology that can be popularized and really useful for people who are usually not considered in technologies design process?’” she says.

“Older adults are part of the underserved population and they have many needs that could be served by technology including the need to communicate and connect through storytelling. They need to tell stories about their lives. They need to be heard.”

Was that her mantra when she was with AGE-WELL?

“It was,” she says. “And it still is.”

Profil : Rita Orji

Rita Orji affirme que son expérience en tant que stagiaire d’AGE-WELL dans le cadre de travaux postdoctoraux à l’Université McGill l’a aidée à voir toute la portée de ce qui

pouvait être accompli dans le domaine de la technologie et du vieillissement.

Actuellement, Mme Orji est professeure adjointe en informatique à l’Université Dalhousie, où elle en est à sa première année et sème les graines de projets de recherche qui favorisent le changement de comportement chez les adultes âgés.

Il s’agit d’une application directe des connaissances acquises grâce à son travail avec AGE-WELL en 2015 dans le cadre d’un projet axé sur la narration numérique comme

moyen pour les personnes âgées de rester en contact avec les autres.

« À mesure que les gens vieillissent, leurs réseaux sociaux rétrécissent et ils peuvent devenir isolés », explique-t-elle. « Nous avons donc travaillé à la conception d’un outil de communication papier-crayon numérique que les personnes âgées pourraient utiliser pour écrire, puis envoyer numériquement à leurs amis, enfants et petits-enfants. »

Mme Orji, titulaire d’un doctorat qui lui a été décerné par l’Université de la Saskatchewan, s’est lancée dans le domaine de la technologie et du vieillissement parce qu’elle s’intéressait à la conception pour les populations mal desservies. Elle affirme que la technologie tend à être faite pour les jeunes et les personnes adroites; pour les personnes qui ont grandi avec les téléphones cellulaires, les tablettes et les ordinateurs.

« J’ai demandé : comment pourrions-nous concevoir une technologie qui peut être popularisée et vraiment utile pour des gens qui ne sont habituellement pas pris en compte dans le processus de conception des technologies? », explique-t-elle.

« Les adultes plus âgés font partie de la population mal desservie et ils ont de nombreux besoins qui pourraient être comblés par la technologie, y compris la nécessité de communiquer et d’établir des liens en racontant des histoires. Ils ont besoin de raconter des histoires sur leur vie. Ils ont besoin d’être entendus. »

Était-ce là sa ligne de pensée lorsqu’elle était avec AGE-WELL?

« Ce l’était », dit-elle. « Et ce l’est toujours. »