Congratulations to Maziar Hafezi (UHN) and Chao Bian (University of Toronto) who have both been selected to receive AGE-WELL Emerging Entrepreneur Awards. This $25,000 award supports the development of emerging entrepreneurs to create and grow innovative startups with potential social and economic impact in Canada.
“Successfully building and scaling a company is an extremely demanding process,” says Dr. Alex Mihailidis, AGE-WELL Scientific Director. “With Canada’s population aging rapidly, the time is now to develop and support entrepreneurs who can create and make available innovative technologies to support older Canadians to live independently in their own homes and communities.”
For Hafezi, the award allows him to fulfil a lifelong dream of entrepreneurship. “I always wanted to make an impact in people’s lives,” he says. Hafezi’s goal is to develop technologies to reduce the disease burden and to improve quality of life of older people with chronic respiratory disorders. He and his team have built a wearable device that will monitor inpatients’ respiration, predicting opioid-related respiratory depression, and alerting the patient and caregiver to react.
“The level of mentorship and support provided by this award will allow these emerging entrepreneurs to really focus on the difficult task of launching their startups,” says Dr. Rich McAloney, Director, Technology Management & Entrepreneurship at the Impact Centre, University of Toronto and AGE-WELL Lead, CC2: Commercialization and Technology Transfer.
“As an emerging entrepreneur, I really need funds to support my team and the freedom to focus on more tech development to reach our next milestone,” says Chao Bian, cofounder of Nightingale.ai.
A PhD candidate at the University of Toronto, Bian and his multidisciplinary team are building an AI-powered tool that helps clinicians conduct geriatric functional assessments on patients in various care settings. The tool helps busy clinicians determine if patients are showing signs of functional decline, which may indicate a need for interventions or more assessments.
In addition to a cash prize, the Emerging Entrepreneur program also provides recipients with additional mentorship and training from various members within the AGE-WELL network including AGE-WELL’s Chief Entrepreneur and CEO of Rakuten Kobo, Michael Tamblyn. Moreover, recipients will have access to AGE-WELL member benefits and specialized services such as legal guidance, commercialization and knowledge mobilization support, access to prototyping labs, and entrepreneurship training.
As Bian noted, “I also need to learn from mentors to make fewer mistakes at an early stage. The AGE-WELL Emerging Entrepreneur Award provides just what I need. ”
AGE-WELL soutient les entrepreneurs émergents
Félicitations à Maziar Hafezi (Réseau universitaire de santé) et à Chao Bian (Université de Toronto) qui ont tous deux été sélectionnés pour recevoir un prix Entrepreneur émergent AGE-WELL. Ce prix d’une valeur de 25 000 $ appuie le développement d’entrepreneurs émergents dans le but de créer et de faire croître des entreprises en démarrage novatrices ayant des répercussions sociales et économiques potentielles au Canada.
« La création et l’expansion réussies d’une entreprise sont extrêmement exigeantes », déclare Alex Mihailidis, directeur scientifique d’AGE-WELL. « Comme la population du Canada vieillit rapidement, le moment est venu de former et de soutenir des entrepreneurs qui peuvent créer et mettre à notre disposition des technologies novatrices qui peuvent aider les Canadiens âgés à vivre de façon autonome chez eux et dans leur collectivité. »
Pour M. Hafezi, le prix lui permet de réaliser un rêve de toute une vie. « J’ai toujours voulu faire une différence dans la vie des gens », dit-il. L’objectif de M. Hafezi est de développer des technologies pour réduire le fardeau de la maladie et améliorer la qualité de vie des personnes âgées souffrant de troubles respiratoires chroniques. Son équipe et lui ont construit un dispositif portable pour surveiller la respiration des patients hospitalisés, prédire la dépression respiratoire liée aux opioïdes et alerter le patient et le soignant afin qu’ils prennent les mesures nécessaires.
« Le mentorat et le soutien offerts dans le cadre de ce prix permettra à ces nouveaux entrepreneurs de se concentrer sur la tâche difficile qu’est le lancement de leur entreprise », déclare Rich McAloney, directeur de la gestion de la technologie et de l’entrepreneuriat, Impact Centre, Université de Toronto, et responsable chez AGE-WELL At 2, Commercialisation et transfert des technologies.
« En tant qu’entrepreneur émergent, j’ai vraiment besoin de fonds pour mon équipe et afin de pouvoir me concentrer sur le développement technologique pour atteindre notre prochain jalon », affirme Chao Bian, cofondateur de Nightingale.ai. Candidat au doctorat à l’Université de Toronto, M. Bian et son équipe multidisciplinaire mettent actuellement au point un outil alimenté par l’intelligence artificielle, qui aide les cliniciens à effectuer des évaluations gériatriques fonctionnelles sur des patients dans divers contextes de soins. L’outil permet aux cliniciens très occupés de déterminer si les patients montrent des signes de déclin fonctionnel, ce qui peut indiquer la nécessité d’effectuer une intervention ou d’autres évaluations.
En plus d’un prix en argent, le programme Entrepreneur émergent offre également aux lauréats des séances de mentorat et de formation additionnelles qui se déroulent avec divers membres du réseau AGE-WELL, y compris l’entrepreneur en chef d’AGE-WELL et le président-directeur général de Rakuten Kobo, Michael Tamblyn. De plus, les lauréats profiteront des avantages sociaux des membres d’AGE-WELL et des services spécialisés comme des conseils juridiques, du soutien pour la commercialisation et la mobilisation des connaissances, un accès aux laboratoires de prototypages et de la formation en entrepreneuriat.
« J’ai aussi besoin d’apprendre des mentors pour faire moins d’erreurs au début. Le prix Entrepreneur émergent d’AGE-WELL répond exactement à mes besoins », remarque M. Bian.