Technology can support healthy aging in so many ways. But a complex health-care system coupled with an unclear path for approvals can make it a challenge to implement new technologies.
“Our goal is to help AGE-WELL innovators and others doing similar work to more successfully navigate regulatory and approval processes to get their technologies into the hands of people who need them,” says Dr. Paul Stolee of the University of Waterloo, who is co-leading a study with Dr. Don Juzwishin of Alberta Health Services and a team of AGE-WELL trainees.
The study team has already produced a primer on technology regulatory policies and charted the innovation pathways for AGE-WELL products.
The researchers will make recommendations to assist technology innovators both with regulatory processes and health-care system approvals. Major government policy changes can take 10 years or more to implement, so recommendations will focus within a given policy group’s mandate in the hope of timely approval and implementation.
For researchers, it can be a daunting task to find their way through multiple jurisdictions of federal, provincial and territorial governments, regional health authorities, and health-care and community care organizations that could have a role in the approval and funding of technologies.
There also is the “gray area” of determining whether or not a technological innovation is deemed a “medical device,” which requires a rigorous federal approval process.
The study team has interviewed key stakeholders across the country including researchers, government representatives, industry innovators and health-care providers to identify barriers and collect ideas for improving adoption of technologies.
Offrir de nouvelles technologies aux personnes qui en ont besoin
La technologie peut favoriser le vieillissement en santé de bien des façons. Toutefois, un système de santé complexe, associé à un parcours ambigu pour les autorisations, peut entraver la mise en œuvre de nouvelles technologies.
« Notre objectif consiste à aider les innovateurs d’AGE-WELL et d’autres effectuant des travaux semblables à se retrouver plus facilement dans les procédures de réglementation et d’autorisation afin de rendre leurs technologies accessibles aux personnes qui en ont besoin », indique Paul Stolee de l’Université de Waterloo, qui codirige une étude avec Don Juzwishin des Services de santé de l’Alberta et une équipe de stagiaires d’AGE-WELL.
L’équipe de l’étude a déjà produit un guide des politiques réglementaires en matière de technologie et tracé les parcours d’innovation pour les produits d’AGE-WELL.
Les chercheurs feront des recommandations pour aider les innovateurs technologiques à l’égard des procédures réglementaires et des autorisations du système de santé. Étant donné que les grands changements à la politique gouvernementale peuvent prendre 10 ans ou plus à mettre en œuvre, les recommandations se concentreront sur le mandat d’un groupe de politiques en particulier en vue d’une autorisation et d’une mise en œuvre en temps opportun.
Pour les chercheurs, il peut être décourageant d’essayer de se retrouver dans plusieurs instances des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, les régies régionales de la santé et les organismes de santé et de soins communautaires qui pourraient avoir un rôle à jouer dans l’autorisation et le financement des technologies.
Il existe également une « zone grise » pour déterminer si une innovation technologique est considérée comme un « appareil médical », ce qui met en cause une procédure d’autorisation fédérale rigoureuse.
L’équipe de l’étude a interviewé des intervenants clés à l’étendue du pays, y compris des chercheurs, des représentants du gouvernement, des innovateurs de l’industrie et des prestataires de soins de santé, afin de relever les obstacles et de recueillir des idées pour améliorer l’adoption de technologies.