C’est arrivé à chacun d’entre nous : nous perdons l’équilibre et agrippons une rampe pour ne pas tomber. Toutefois, cette rampe est-elle au bon endroit pour prévenir une chute?
Vicki Komisar, stagiaire d’AGE-WELL et candidate au doctorat à l’Institut de réadaptation/Université de Toronto, étudie la hauteur optimale et la résistance structurale des rampes au sein de la collectivité. Elle a déjà constaté qu’en Ontario, le code du bâtiment n’est peut-être pas approprié pour tout le monde en ce qui concerne les normes de hauteur des rampes.
Les autres constatations de Mme Komisar éclaireront les normes de conception partout au pays — et amélioreront la sécurité. Les chutes peuvent arriver à tout le monde; elles sont la principale cause de blessure chez les Canadiens âgés et coûtent 2 milliards de dollars par année au système de santé.
“Ma grand-mère est décédée à 92 ans des suites de complications d’une fracture de la hanche causée par une chute, alors la prévention des chutes est une affaire personnelle pour moi”, de dire Mme Komisar.